Ona vu comme cela la France, le Japon, le continent Africain et la Russie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites. Plus d'outils de partage. nile. PostĂ©(e) 4 aoĂ»t 2017. nile. Membre +++ 406 Auteur; Partager; PostĂ©(e) 4 aoĂ»t 2017. Tu as quel niveau ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites. Plus d'outils de partage. Coco1766. PostĂ©(e) 4 aoĂ»t ï»żOffrepubliĂ©e hier - Contrat Ă  durĂ©e indĂ©terminĂ©e - 12H Horaires normaux - Salaire : Horaire de 11,07 Euros Ă  13,07 Euros sur 12 mois - 44 - STE LUCE SUR LOIRE - 139KQHD Jesitue les ocĂ©ans : j Ă©cris leur nom en bleu. Le monde du point de vue des europĂ©ens : type Mercator. Le monde vu du PĂŽle Nord: projection polaire. Le monde du point de vue des amĂ©ricains : carte centrĂ©e sur l’OcĂ©an Pacifique Carte de Peters : projection respectant les proportions nord- sud. Ils’agit d’une carte vintage ORIGINALE montrant une projection avec le pĂŽle Nord au centre, qui a Ă©tĂ© tirĂ©e d’un atlas des annĂ©es 1950. Cette page de carte mesure environ 9x 12-1/8 ». ** Veuillez noter que je vends d’autres cartes, y compris d’autres Cartes des pĂŽles Nord et Sud : 15mn Faire un rappel de ce qui a Ă©tĂ© vu prĂ©cĂ©demment. Distribuer Ă  chaque groupe plusieurs reproductions de cartes de diffĂ©rentes pĂ©riodes historiques. Dans un tableau, leur faire ranger les cartes chronologiquement. Puis chercher les Ă©lĂ©ments nouveaux, ce qui a Ă©tĂ© modifiĂ©. Mise en commun par correction du tableau. Oral collectif Vay Tiền TráșŁ GĂłp 24 ThĂĄng. Un peu d'histoireLa Terre est plate !Pour les anciens habitants du bassin mĂ©diterranĂ©en, la Terre Ă©tait plate. La mer, appelĂ©e OcĂ©anos, qui entourait les terres habitĂ©es, se refermait pour former la voĂ»te cĂ©leste sur laquelle se dĂ©plaçait le Soleil. Ce dernier, allant d'Est en Ouest, atteignait le zĂ©nith Ă  hauteur des rĂ©gions tropicales et les chauffait de façon insupportable, et c'est pourquoi ces derniĂšres abondaient en dĂ©serts inhospitaliers. Par contre dans la zone tempĂ©rĂ©e, le Soleil Ă©tait assez Ă©loignĂ© pour permettre l'existence d'un climat doux adaptĂ© Ă  la vie humaine. C'est donc lĂ  que se construisirent les villes et les temples dĂ©diĂ©s aux dieux et que naquit le Ă  l'embouchure du Nil que le centre du monde Ă©tait placĂ©. Puis en allant vers le Nord, la Terre s'arrĂȘtait. Cependant sur OcĂ©anos se trouvaient quelques Ăźles au climat plus rigoureux, habitĂ©es par des peuples barbares riches en mĂ©taux. Les navigateurs phĂ©niciens qui s'Ă©taient aventurĂ©s sur OcĂ©anos les avaient visitĂ©es. Ils auraient Ă©galement naviguĂ© vers le Sud, le long des cĂŽtes de l'Afrique, jusqu'Ă  ce qu'un jour le Soleil apparaisse non plus Ă  la gauche des navires, mais Ă  leur droite. Et donc pris de peur devant ce phĂ©nomĂšne inattendu, les PhĂ©niciens auraient fait demi-tour. Plus loin encore vers le Nord se trouvait l'HyperborĂ©e. Cet endroit, si pauvre en chaleur du Soleil, Ă©tait le royaume des glaces et des neiges Ă©ternelles. Aucune vie ne semblait y la Terre devient sphĂ©rique !On suppose que ce sont les anciens gĂ©omĂštres grecs qui ont eu les premiers l'idĂ©e que la Terre avait la forme d'une sphĂšre. Et ceci dĂšs lors qu'ils rĂ©alisĂšrent que les Ă©clipses de Lune Ă©taient dues Ă  l'ombre que la Terre projetait dans l'espace. Comme le bord de l'ombre Ă©tait toujours circulaire avec une courbe toujours identique quelle que fĂ»t la hauteur de l'Ă©clipse sur l'horizon, le corps qui projetait l'ombre, c'est-Ă -dire la Terre, devait ĂȘtre sphĂšre a des dimensions finies et donc la Terre doit en avoir aussi. C'est Ă  partir des diffĂ©rentes hauteurs du Soleil aux solstices en des lieux diffĂ©rents de la Terre qu'il fut possible d'estimer ses dimensions. C'est ainsi qu'Aristote estima la circonfĂ©rence de la Terre entre 58 800 et 76 800 km, tandis qu'EratosthĂšne l'Ă©valua entre 37 044 et 48 238 km. De plus une Terre sphĂ©rique induisait un systĂšme naturel de reprĂ©sentation de sa surface, celui des coordonnĂ©es gĂ©ographiques latitude et longitude. Ces derniĂšres furent introduites par incognitaLes premiers navigateurs portugais partirent Ă  la conquĂȘte de l'inconnu en voulant faire le tour de l'Afrique. GrĂące aux coordonnĂ©es gĂ©ographiques de sept mille localitĂ©s, que PtolĂ©mĂ©e avait recueillis dans sa GĂ©ographie, il fut facile pour les cartographes de la Renaissance de reconstruire un planisphĂšre terrestre. Et c'est avec ces donnĂ©es que Christophe Colomb prĂ©para son extraordinaire voyage. Cependant la distance entre l'Espagne et la Chine s'avĂ©ra fausse, car estimĂ©e au tiers de sa vĂ©ritable valeur. Mais Christophe Colomb eut la chance de trouver les Indes occidentales, car sinon il ne serait jamais revenu. MalgrĂ© ses nombreux voyages Christophe Colomb ne se rendait pas vraiment compte qu'il avait dĂ©couvert un nouveau continent. Le mĂ©rite en revient d'ailleurs Ă  Amerigo Vespucci qui explora les cĂŽtes du BrĂ©sil dix ans aprĂšs le premier voyage de Christophe Colomb. Et c'est donc d'aprĂšs son nom que ces terres furent dĂšs lors appelĂ©es rares survivants des expĂ©ditions de Fernand de Magellan furent les premiers hommes Ă  effectuer le tour du monde en bateau. Parmi ceux-ci, Antonio Pigafetta qui en avait tenu le journal et Ă  qui l'on doit le rĂ©cit du voyage. Quand l'expĂ©dition arriva enfin aux Ăźles Canaries, Pigafetta croyait ĂȘtre un vendredi, cependant il dĂ©couvrit que le jour suivant Ă©tait un dimanche car la messe allait ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©e. L'annotation resta dans le journal, incomprise, mais elle est la preuve objective de la rĂ©alisation de l'entreprise. En effet, Ă  naviguer toujours vers l'Ouest en suivant le Soleil, celui-ci s'Ă©tait levĂ© et couchĂ© une fois de planisphĂšre se dessinait petit Ă  petit, se couvrant de signes et de lignes. Les cĂŽtes de l'Afrique eurent leurs contours dĂ©finitifs tandis que prenaient forme l'AmĂ©rique du Nord et l'AmĂ©rique du Sud, l'intĂ©rieur du Mexique et la cĂŽte pacifique jusqu'Ă  l'actuelle ville de San Francisco, les Andes, les Grands Lacs, les cĂŽtes de la Chine et le Japon. Par contre pour connaĂźtre "parfaitement" les territoires inconnus de l'Afrique, ainsi que la localisation des sources du Nil, il fallut attendre le milieu du XIXe mesures de la TerreLa carte de la France dressĂ©e par Jean Picard Ă  la fin du XVIIe siĂšcle donna naissance Ă  la gĂ©ographie et la gĂ©odĂ©sie modernes. Cependant, Ă  l'Ă©poque, une polĂ©mique existait sur la vĂ©ritable forme de la Terre. Huygens et Newton suggĂ©raient que si la Terre tourne sur elle-mĂȘme alors elle doit ĂȘtre lĂ©gĂšrement aplatie aux pĂŽles et renflĂ©e Ă  l'Ă©quateur. L'AcadĂ©mie des sciences de Paris dĂ©cida donc d'envoyer deux expĂ©ditions, l'une au PĂ©rou Ă  proximitĂ© de l'Ă©quateur, et l'autre en Laponie, le lieu le plus septentrional pouvant ĂȘtre atteint, afin de mesurer la longueur du degrĂ© du mĂ©ridien. Ce dernier devait ĂȘtre plus court Ă  l'Ă©quateur et plus long prĂšs du pĂŽle Nord. La recherche eut ses premiers rĂ©sultats en 1756 aprĂšs de grandes pĂ©ripĂ©ties. Le degrĂ© Ă©tait effectivement plus grand Ă  proximitĂ© du pĂŽle, et la Terre tournait bien sur elle-mĂȘme comme le prĂ©voyait le systĂšme copernicien. A partir de lĂ , on pouvait calculer les dimensions rĂ©elles de la Terre, et l'on put mettre en pratique la suggestion de les utiliser pour dĂ©finir une unitĂ© de longueur universelle. Cela donna naissance au mĂštre, qui est dĂ©fini comme la quarante-millioniĂšme partie de la longueur du mĂ©ridien terrestre. En 2010, deux bibliothĂ©caires de l’UniversitĂ© Laval, StĂ©fano Biondo et JoĂ« Bouchard, dĂ©couvrent par Internet chez un marchand de Prague un exemplaire original 1595 de la carte Septentrionalium Terrarum descriptio du grand cartographe flamand GĂ©rard Mercator 1512-1594, illustrant et dĂ©crivant le pĂŽle Nord, l’Arctique ainsi que les terres qui encerclent le toit du monde ». Conscients que les Ă©tudes nordiques constituent un des fers de lance de l’UL, ils contactent aussitĂŽt le gĂ©ographe Louis-Edmond Hamelin, pĂšre » du concept de nordicitĂ©, qui les assure de l’extraordinaire richesse de ce document, auquel il a mĂȘme consacrĂ© il y a longtemps une Ă©tude jamais publiĂ©e. Ils acquiĂšrent alors le document et amorcent une collaboration Ă©troite avec M. Hamelin. Cette complicitĂ© aboutit aujourd’hui Ă  un ouvrage exceptionnel d’érudition et de vulgarisation scientifique, L’apparition du Nord selon GĂ©rard Mercator, dont la remarquable prĂ©sentation graphique se distingue tant par la qualitĂ© des illustrations que par la clartĂ© et l’élĂ©gance de la mise en page. À partir de la comprĂ©hension et de l’interprĂ©tation de cette carte primordiale pour l’étude du Nord, l’ouvrage propose au lecteur une vĂ©ritable exploration du territoire arctique, tel qu’on le connaissait et qu’on l’imaginait il y a plus de 400 ans. En mettant Ă  contribution des disciplines telles que la lexicologie, l’ocĂ©anographie, la climatologie, la topographie, la toponymie et l’histoire ancienne, les auteurs tentent de mesurer le degrĂ© de prĂ©cision et d’exactitude de la carte de Mercator, ainsi que l’étendue rĂ©elle des connaissances sur l’Arctique Ă  l’époque de la Renaissance. Leur conclusion est surprenante La planche polaire de Mercator ne provient ni d’une construction bizarre et fallacieuse ni d’emprunts Ă  des situations des pays tempĂ©rĂ©s. Elle est une oeuvre d’une nordologie Ă©tude du nord prĂ©coce, l’illustration d’un savoir incomplet, mais bien plus dĂ©veloppĂ© qu’on a longtemps voulu le croire. » La carte Septentrionalium Terrarum descriptio, qui fait partie d’un atlas publiĂ© un an aprĂšs la mort de Mercator, est non seulement attrayante et instructive, mais fondatrice » des Ă©tudes nordiques, selon les auteurs. Mercator fut en somme un pionnier dans le long processus d’acquisition et de synthĂšse des connaissances sur l’hĂ©misphĂšre borĂ©al. MĂȘme si les reprĂ©sentations cartographiques du XVIe siĂšcle Ă©taient invariablement limitĂ©es par les lacunes documentaires, par le recours - obligĂ© Ă  l’époque - aux conceptions dĂ©passĂ©es de l’AntiquitĂ© et par les restrictions religieuses et idĂ©ologiques de l’Inquisition, l’illustration et la description de l’Arctique et des territoires environnants par Mercator et d’autres aprĂšs lui Ă©tonnent par leur relative justesse. Et cela grĂące aux sources variĂ©es auxquelles avaient recours les grands cartographes de l’époque cartes antĂ©rieures, rĂ©cits publiĂ©s des explorateurs, mais aussi rĂ©cits de premiĂšre main des marins et des navigateurs. Le lecteur dĂ©couvrira avec stupĂ©faction chez Mercator un savoir nordique en plein essor », avec la description entre autres du dĂ©troit de BĂ©ring alors nommĂ© Anian, du systĂšme hydrographique du fleuve Mackenzie Cogib-Obila, du grand lac des Esclaves Lago de Conibaz et de la baie d’Hudson Hic Mare. Les peuples autochtones qui habitent les territoires du Nord sont appelĂ©s Canadenses », Ă  la suite des dĂ©couvertes de Jacques Cartier. Quelle bonne idĂ©e enfin d’avoir publiĂ© la carte intĂ©grale de Mercator au verso de la jaquette du volume, ainsi que d’en offrir gratuitement une version numĂ©rique sur le site Web de la bibliothĂšque de l’UniversitĂ© Laval. Et merci aux Ă©ditions du Septentrion pour ce travail d’édition impeccable ! Collaborateur À voir en vidĂ©o PinterestExploreWhen autocomplete results are available use up and down arrows to review and enter to select. 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Il s’agit d’une rĂ©gion qui se trouve Ă  l’opposĂ© de l’Antarctique qui se trouve au sud de la terre. L’arctique est donc une grande rĂ©gion qui se trouve au nord de notre globe. Et Ă  travers cette carte de l’arctique, nous vous proposons de dĂ©couvrir cette rĂ©gion mĂ©connue, mais si belle. GĂ©ographie avec la carte de l’Arctique Peut-ĂȘtre ne le savez-vous pas, mais la rĂ©gion de l’article est composĂ©e de 8 pays. Comme on peut le voir sur la carte de l’Arctique, on va ainsi trouver la SuĂšde, la Finlande, la Russie, le Canada, le Danemark reprĂ©sentĂ© par le Groenland, l’Islande, la NorvĂšge ou encore les États-Unis avec l’Alaska. En regroupant, c’est 8 pays, ils vont former ce qu’on appelle le conseil de l’arctique. Carte de l’Arctique – © Peter Hermes Furian – Comme nous pouvons le voir sur la carte de l’Arctique, c’est une rĂ©gion trĂšs vaste. On estime que sa surface est de 21 millions de kilomĂštres carrĂ©s. Comment on pourrait dire, elle est tout simplement immense. Du fait de sa situation gĂ©ographique, on peut mettre en avant une particularitĂ©, il peut faire jour ou nuit pendant 24 heures lorsqu’on se situe en Arctique. Si vous avez dĂ©cidĂ© de dĂ©couvrir la rĂ©gion, il vous faudra vous prĂ©parer Ă  subir des variations importantes. Par exemple, si on part sur le plan climatique, il faut savoir que les tempĂ©ratures hivernales vont pouvoir atteindre jusqu’à – 40 degrĂ©s Celsius. GĂ©nĂ©ralement, elle se situe entre – 40 et 0 degrĂ© durant la pĂ©riode de l’hiver. Mais elles peuvent mĂȘme chuter davantage et attendre les moins 50 degrĂ©s. Par contre, durant la pĂ©riode estivale, elle se trouve entre – 10 degrĂ©s Celsius et 10 degrĂ©s Celsius. On peut mĂȘme noter certains endroits qui vont pouvoir monter jusqu’à 20 degrĂ©s Celsius. La fonte des glaces Bien entendu, vous en avez probablement entendu parler, le rĂ©chauffement climatique touche en partie la rĂ©gion et on assiste Ă  une fonte de la banquise durant l’étĂ©. Cela a un impact important notamment sur la faune de la rĂ©gion. D’ailleurs, sur le plan de la faune, il faut savoir que la rĂ©gion est trĂšs bien lotie. En effet, on va trouver de nombreuses espĂšces animales. Parmi ces derniĂšres, le cĂ©lĂšbre ours polaire. Mais on va Ă©galement et trouver le renard polaire, le renne, le liĂšvre arctique, le morse et tant d’autres
 Mais la rĂ©gion fait aussi l’objet de nombreuses pressions et intĂ©rĂȘts stratĂ©giques. En effet, dans ces sous-sols, il y a de nombreuses matiĂšres premiĂšres que les pays se disputent. Avec la fonte des glaces, il y a fort Ă  parier que dans quelques annĂ©es des pays pourront exploiter ces diffĂ©rentes ressources afin de pouvoir les extraire. La carte de l’Articque, avec la fonte des glaces, risque d’ĂȘtre modifiĂ© dans quelque temps. En effet, il s’agit d’un enjeu majeur pour la planĂšte. En 1929, une carte a Ă©tĂ© retrouvĂ©e enroulĂ©e sur une Ă©tagĂšre poussiĂ©reuse dans une bibliothĂšque du palais de Topkapi Ă  Constantinople aujourd'hui Istanbul, en Turquie. La carte est dĂ©sormais connue sous le nom de Piri Reis Map», ce qui a suscitĂ© un dĂ©bat houleux dans le monde entier. La carte de Piri Reis carte du monde turque de 1513, pleine de secrets d'État europĂ©ens et de commentaires sarcastiques © Wikimedia Commons Lors de sa dĂ©couverte, la carte de Piri Reis a immĂ©diatement attirĂ© l'attention car c'Ă©tait l'une des premiĂšres cartes d'AmĂ©rique et la seule carte du 16Ăšme siĂšcle qui montre l'AmĂ©rique du Sud dans sa position longitudinale appropriĂ©e par rapport Ă  l'Afrique. Buste de Piri Reis au musĂ©e naval d'Istanbul © CeeGee / Wikimedia Commons La carte est dessinĂ©e sur une peau de gazelle et a Ă©tĂ© compilĂ©e en 1513 par Ahmed Muhiddin Piri, mieux connu sous le nom de Piri Reis, qui Ă©tait un amiral militaire ottoman-turc, un navigateur, un gĂ©ographe et un cartographe. HypothĂšse qui tente de corrĂ©ler la limite infĂ©rieure de la carte Piri Reis de la cĂŽte de la Patagonie argentine et des Ăźles Falkland © Wikimedia Commons Environ un tiers de la carte qui survit montre les cĂŽtes occidentales de l'Europe, l'Afrique du Nord et la cĂŽte du BrĂ©sil. Diverses Ăźles de l'Atlantique, y compris les Açores et les Ăźles Canaries sont reprĂ©sentĂ©es, tout comme l'Ăźle mythique d'Antillia et peut-ĂȘtre le Japon. L'aspect le plus dĂ©routant de la carte de Piri Reis est sa reprĂ©sentation de l'Antarctique. La carte montre non seulement une masse terrestre prĂšs de l'Antarctique actuel, mais elle dĂ©crit la topographie de l'Antarctique comme n'Ă©tant pas masquĂ©e par la glace et dans de grands dĂ©tails. Mais selon les livres d'histoire, la premiĂšre observation confirmĂ©e de l'Antarctique a eu lieu en 1820 par l'expĂ©dition russe de Mikhail Lazarev et Fabian Gottlieb von Bellingshausen. D'un autre cĂŽtĂ©, on estime que l'Antarctique est couvert de glace depuis environ 6000 ans. Maintenant, beaucoup de gens ont soulevĂ© la question comment un amiral turc d'il y a un demi-millĂ©naire pourrait-il cartographier la topographie d'un continent recouvert de glace depuis des milliers d'annĂ©es? Des rapports ont Ă©tĂ© publiĂ©s affirmant que l'Empire ottoman avait connaissance d'une certaine forme de civilisation antique de la pĂ©riode glaciaire. Cependant, ces affirmations sont gĂ©nĂ©ralement considĂ©rĂ©es comme de la pseudo-Ă©rudition, et l'opinion scientifique est que la rĂ©gion parfois considĂ©rĂ©e comme l'Antarctique est plus vraisemblablement la Patagonie ou la Terra Australis Incognita Terre mĂ©ridionale inconnue qui existait gĂ©nĂ©ralement avant l'hĂ©misphĂšre sud. explorĂ©e. Sur la carte, Piri Reis attribue des ressources Ă  une carte dessinĂ©e par Christophe Colomb, qui n'a jamais Ă©tĂ© dĂ©couverte. Les gĂ©ographes ont passĂ© plusieurs siĂšcles Ă  rechercher sans succĂšs un Carte perdue de Colomb» qui aurait Ă©tĂ© dessinĂ© alors qu'il Ă©tait aux Antilles. AprĂšs la dĂ©couverte de la carte Piri Reis, une enquĂȘte infructueuse a Ă©tĂ© lancĂ©e pour retrouver la carte source de Columbus perdue. L'importance historique de la carte Piri Reis rĂ©side dans sa dĂ©monstration de l'Ă©tendue de la connaissance portugaise du Nouveau Monde en 1510. La carte Piri Reis est actuellement situĂ©e dans la bibliothĂšque du palais de Topkapi Ă  Istanbul, Turquie, mais n'est pas actuellement exposĂ©e au public. Quelques autres cartes anormales Comme la carte Piri Reis, il existe une autre anomalie, la carte Oronteus Finaeus, Ă©galement orthographiĂ©e carte Oronteus Fineus. C'Ă©tait incroyablement prĂ©cis, et cela montre aussi une Antarctique sans glace et sans calotte glaciaire. Il a Ă©tĂ© dessinĂ© en 1532. Il existe Ă©galement des cartes montrant le Groenland comme deux Ăźles sĂ©parĂ©es, comme cela a Ă©tĂ© confirmĂ© par une expĂ©dition polaire française qui a dĂ©couvert qu'il y a une calotte glaciaire assez Ă©paisse reliant ce qu'il est en rĂ©alitĂ© deux Ăźles. La carte Oronteus Finaeus, publiĂ©e en 1531, montre l'Antarctique avant qu'il ne soit "dĂ©couvert" et Ă  quel point il semblait libre de glace. La carte montre les riviĂšres, les vallĂ©es et les cĂŽtes du continent, ainsi que l'emplacement approximatif du pĂŽle sud. Il donne Ă©galement les coordonnĂ©es longitudinales correctes. © CrĂ©dit image Wikimedia Commons Une autre carte Ă©tonnante est celle dessinĂ©e par le Turc Hadji Ahmed, annĂ©e 1559, dans laquelle il montre une bande de terre, d'environ 1600 Km de large, qui rejoint l'Alaska et la SibĂ©rie. Un tel pont naturel a ensuite Ă©tĂ© recouvert par les eaux en raison de la fin de la pĂ©riode glaciaire, qui a fait remonter le niveau de la mer. Inscrivez vous Ă  notre Newsletter Soyez informĂ© des meilleurs messages en plein essor chaque semaine. En cochant cette case, vous confirmez avoir lu et acceptĂ© nos conditions d'utilisation concernant le stockage des donnĂ©es soumises via ce formulaire. article prĂ©cĂ©dent Une momie Ă  langue d'or dĂ©couverte en Egypte article suivant Lola ― la femme de l'Ăąge de pierre dont l'ADN d'un ancien "chewing-gum" raconte une histoire incroyable

carte du monde vu du pole nord