p. 162). Il sâemporte, peut-ĂȘtre un peu trop, contre lâindiffĂ©rence des Grecs Ă lâĂ©gard de leur patrie, contre leur nĂ©gligence Ă observer ce que lâon appelle aujourdâhui le devoir de mĂ©moire. Encore lui faudrait-il faire mieux la part des effets de la
Cest du Brel, et peut-ĂȘtre un peu trop, d'ailleurs, pour ne pas paraĂźtre parodique. Dans l'absolu, et dans le paysage actuel en particulier, ce n'est pas forcĂ©ment une mauvaise chanson, mais c'est du Brel comme Brel
Peuton changer la souffrance. En espoir de dĂ©livrance. Rien qu'en marchant en silence. Au pays des rĂȘves immenses. Dis-moi crois-tu qu'il y ait la moindre chance. Pour que quelque chose change. Une chanson peut faire la diffĂ©rence. Si l'on veut qu'un jour le monde sache. Qu'il y a des enfants qui se cachent.
Achetezle design « C'EST CE QUE C'EST L'indiffĂ©rence drĂŽle et l'humour sans Ă©motion » par ZERO COOL sur le produit suivant : Coussin Vendez vos Ćuvres Connectez-vous Inscrivez-vous Artistes populaires
citation1. La politesse, c' est l' indifférence organisée. - Le sourire est un systÚme. - Les égards sont des prévisions. Tel Quel (1941) de. Paul Valéry. Références de Paul Valéry - Biographie de Paul Valéry. Plus sur cette citation >> Citation de Paul Valéry (n° 28743) -
Dá»ch VỄ Há» Trợ Vay Tiá»n Nhanh 1s. TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article Vous demande-t-on constamment de vous taire ? Parlez-vous souvent sans rĂ©flĂ©chir pour finir par regretter ce que vous avez dit ? Avez-vous l'impression qu'il y a trop de bruit dans votre tĂȘte et que vous voudriez savoir comment le faire cesser ? La bonne nouvelle est qu'absolument tout le monde peut se taire et garder le silence â c'est juste une question de temps et de patience. Lisez ce qui suit si vous voulez savoir comment faire pour garder le silence. 1 RĂ©flĂ©chissez avant de parler. Les personnes trĂšs bavardes n'en sont pas capables. Ainsi, la prochaine fois que vous mourrez d'envie de dire quelque chose, faites une pause, attendez une minute et demandez-vous si ce que vous allez dire sera bien utile. Donnerez-vous aux gens des informations dont ils peuvent avoir besoin, ferez-vous rire les autres, leur offrirez-vous des mots de rĂ©confort ou bien direz-vous simplement quelque chose pour ĂȘtre entendue ? Gardez-le pour vous si vous pensez que personne ne profitera vraiment de ce que vous voulez dire. Une rĂšgle Ă suivre quand vous commencez est de ne dire qu'une chose sur deux parmi toutes celles auxquelles vous pensez. Quand vous devenez plus silencieuxse, vous pouvez ne dire qu'une chose sur trois ou sur quatre. 2 Ne coupez pas la parole. Ne coupez jamais la parole Ă une personne qui est en train de parler sauf si vous pensez que ce que vous avez Ă dire est absolument essentiel pour la conversation admettez que c'est rarement le cas !. Interrompre quelqu'un est non seulement grossier, mais cela va aussi briser l'Ă©lan de la conversation et vous fera prendre pour une grande gueule. Si vous avez vraiment quelque chose Ă ajouter ou une question Ă poser, notez-le-vous mentalement et attendez jusqu'Ă ce que l'autre personne ait fini pour voir si ce que vous avez Ă dire est toujours pertinent. Vous serez Ă©tonnĂ©e par le nombre de vos questions auxquelles on aura de toute façon rĂ©pondu si vous laissez parler les autres. 3 Posez des questions au lieu de parler de vous. Si vous tĂąchez de garder le silence, il est probable que vous ayez tendance Ă parler constamment de vous ou des choses qui n'intĂ©ressent que vous plutĂŽt que de laisser les autres exprimer leurs opinions. Ainsi, la prochaine fois que vous serez dans une discussion et que ce sera votre tour de parler, posez des questions aux gens pour obtenir plus de renseignements sur le sujet de votre conversation, pour mieux connaĂźtre les autres ou pour savoir quels sont leurs loisirs et ce qu'ils aiment faire pour se dĂ©tendre. Vous n'avez pas besoin d'en faire un interrogatoire en rĂšgle ni de poser des questions qui pourraient mettre mal Ă l'aise. Gardez un ton lĂ©ger, sympathique et poli. 4 Comptez Ă rebours Ă partir de dix avant de dire quelque chose. Donnez-vous dix secondes de rĂ©flexion, si vous avez en tĂȘte un commentaire que vous trouvez juste formidable. Faites votre dĂ©compte mental pour voir si votre idĂ©e n'a pas perdu de son intĂ©rĂȘt ou bien pour donner aux autres le temps d'intervenir et de vous empĂȘcher de dire ce que vous aviez l'intention de dire. C'est aussi une excellente technique si vous ĂȘtes en colĂšre ou bouleversĂ©e et voulez exprimer votre insatisfaction. Donnez-vous un peu de temps pour vous calmer et vous empĂȘcher de dire quelque chose que vous pourriez regretter. Quand vous commencez Ă maĂźtriser la chose, vous pouvez vous contenter de compter Ă rebours Ă partir de cinq. Rien que ce court laps de temps peut vous aider Ă savoir si vous devez ou non vous taire. 5 Ăcoutez bien. Si vous voulez garder le silence, vous devez vous entraĂźner Ă bien Ă©couter. Quand quelqu'un vous parle, Ă©changez des regards, relevez des points importants et tĂąchez de lire entre les lignes pour savoir ce que la personne dit vraiment et ce qu'elle peut ressentir. Laissez parler la personne, ne perdez pas patience et ne succombez pas Ă la tentation de lire votre messagerie sur le tĂ©lĂ©phone. Posez des questions qui peuvent aider la personne Ă mieux expliquer ses idĂ©es, mais ne demandez rien qui soit hors sujet, ce qui pourrait perturber la personne. Plus vous saurez ĂȘtre Ă l'Ă©coute et moins vous serez tentĂ©e de parler tout le temps. 6 Cessez de vous plaindre. Vous pourriez passer le plus gros de votre temps de parole Ă gĂ©mir sur tout ce qui vous a agacĂ© dans la journĂ©e. Vous pourriez ressentir le besoin de parler de l'embouteillage affreux que vous avez vĂ©cu ce matin, du mĂ©chant email reçu par un proche ou de votre difficultĂ© Ă supporter le froid de cet hiver. Franchement, oĂč va vous mener toute cette logorrhĂ©e ? Si de vous plaindre de tout ce que vous ne pouvez pas changer peut vraiment vous soulager, notez-le dans votre agenda. Il est inutile de le faire Ă voix haute, n'est-ce pas ? Il est bon de le faire si vous avez un vrai problĂšme et avez besoin d'en parler. Il est ici question du besoin de se plaindre pour le simple plaisir de le faire. 7 Concentrez-vous sur votre respiration. Si vous vous sentez dĂ©mangĂ©e du besoin de parler sans raison, concentrez-vous simplement sur votre respiration. Comptez le nombre de fois vous inspirez et expirez et tĂąchez de respirer plus profondĂ©ment. Cessez de vous agiter, Ă©coutez ce qui se passe autour de vous et concentrez-vous sur votre Ă©tat d'esprit et non pas sur ce que vous mourez d'envie de dire. Cette technique va vous calmer et vous fera comprendre qu'il n'est pas trĂšs important de parler. 8 Prenez le temps d'assimiler ce que vous entendez. Vous pourriez ĂȘtre le genre de personne qui rĂ©agit instantanĂ©ment Ă un propos entendu et qui veut rĂ©pondre impulsivement en exprimant une rĂ©flexion, un Ă©tonnement ou quelque chose d'approchant, mais ce n'est vraiment pas le bon moyen de gĂ©rer la situation. Si vous prenez le temps d'assimiler tout ce qui se passe et de bien former une question ou un commentaire, vous serez capable de parler moins et de dire quelque chose de plus sensĂ©. Cela vous donnera le temps d'ĂȘtre votre propre censeur interne et de ne pas vous laisser aller Ă dire tout le superflu qui ne sert Ă rien ni Ă personne. PublicitĂ© 1 Trouvez un loisir qui demande du calme. La pratique par vous-mĂȘme du silence peut vous aider Ă ĂȘtre plus calme quand vous ĂȘtes avec d'autres personnes. Un moyen de vous entraĂźner Ă ĂȘtre plus tranquille est de trouver un loisir oĂč vous devez garder le silence et rester seule de prĂ©fĂ©rence. Essayez la peinture, l'Ă©criture crĂ©ative, le yoga, l'Ă©criture de chansons, la collection de timbres, l'observation des oiseaux ou tout ce qui vous demande de garder le silence et de ne rien dire de ce qui vous passe par l'esprit. La lecture est aussi excellente pour garder le silence quand vous assimilez les mots qui sont devant vous. TĂąchez de garder le silence pendant au moins une heure quand vous ĂȘtes occupĂ©e Ă votre loisir. Passez ensuite Ă deux heures, puis trois. Pensez-vous parvenir Ă tenir une journĂ©e entiĂšre sans dire un mot ? 2 DĂ©pensez votre Ă©nergie autrement. Vous pourriez parler beaucoup, certains pourraient dire trop, car vous avez l'impression d'avoir un trop-plein d'Ă©nergie dont vous ne savez que faire. Trouvez donc un autre exutoire pour exprimer tout ce que vous avez en tĂȘte et vous dĂ©barrasser de tout ce qui vous encombre l'esprit. Une activitĂ© physique intense, surtout la course Ă pied, peut vous offrir un bon dĂ©fouloir tout en vous dĂ©barrassant de ce supplĂ©ment d'Ă©nergie. De longues promenades ou la cuisine peuvent avoir le mĂȘme effet. Trouvez ce qui vous convient le mieux. 3Combattez la tentation de papoter en ligne. Parler en ligne ne fait que remplir votre vie de bruits et ce que vous dites n'est pas trĂšs important. Si vous vouliez vraiment parler Ă un ami, vous le feriez au tĂ©lĂ©phone ou en face plutĂŽt que de le faire Ă travers votre ordinateur, n'est-ce pas ? La prochaine fois que vous ressentirez le besoin de rĂ©pondre au commentaire de tel internaute sur un forum, Ă©teignez votre ordinateur et allez plutĂŽt vous promener. 4 Prenez du recul par rapport aux rĂ©seaux sociaux. Laissez tomber Facebook, Instagram, Twitter et tout autre rĂ©seau social que vous avez trop frĂ©quemment utilisĂ©. Ces sites sont pleins de bruits, de personnes qui tentent d'impressionner les autres et de mots futiles auxquels vous seriez tentĂ© de rĂ©pondre. Si vous ĂȘtes vraiment accro, ne passez qu'un quart d'heure par jour sur vos rĂ©seaux sociaux au lieu d'y passer votre temps Ă vĂ©rifier les messages chaque fois que vous le pouvez. Ne voudriez-vous pas plutĂŽt entendre ce que votre ami le plus proche veut vous dire en personne plutĂŽt que de lire ce que de parfaits inconnus racontent Ă n'importe qui ? Coupez toutes ces voix inutiles et ne vous concentrez que sur celles qui valent la peine. 5 Consignez vos impressions dans un journal intime. Prenez l'habitude de rĂ©diger votre journal Ă la fin de la journĂ©e ou de la semaine. Cela peut vous aider Ă consigner ces pensĂ©es supplĂ©mentaires, Ă garder le silence et avoir l'impression de vous ĂȘtre dĂ©chargĂ© de tout ce que vous aviez sur le cĆur sans en avoir rĂ©fĂ©rĂ© Ă votre cent cinquantiĂšme ami sur Facebook. Vous pouvez vous contenter d'Ă©crire ce qui vous est arrivĂ© dans la journĂ©e, ce qui vous conduira Ă vous poser plus de questions et d'Ă©voquer avec plus de profondeur ce qui vous vient Ă l'esprit. Vous serez stupĂ©fait par votre capacitĂ© Ă garder le silence rien qu'en vous confiant chaque jour Ă votre journal intime. 6 MĂ©ditez. La mĂ©ditation est un excellent moyen de dĂ©brancher votre esprit et de garder une attitude calme. Prenez tous les matins dix Ă vingt minutes, trouvez un endroit calme et confortable, fermez les yeux et concentrez-vous sur les inspirations et expirations de votre respiration et remarquez ce que vous entendez, sentez et ressentez quand vous ĂȘtes assis tranquillement. Bannissez toute pensĂ©e trop sĂ©rieuse et concentrez-vous sur le moment prĂ©sent pour en apprĂ©cier le silence et vous serez en bonne voie pour passer une journĂ©e plus calme et silencieuse. La mĂ©ditation peut vous empĂȘcher de vous sentir dĂ©passĂ© par un plus grand contrĂŽle du corps et de l'esprit. 7 ApprĂ©ciez la nature. Promenez-vous. Allez Ă la plage. Regardez les magnifiques plantes du Jardin botanique Ă l'autre bout de la ville. Faites une excursion en fin de semaine dans les bois. Faites ce qu'il faut pour vous rapprocher de la nature. Vous serez Ă©merveillĂ© par la beautĂ© et la puissance de quelque chose de bien plus permanent que vous et vous sentirez que tous vos doutes et vos mots s'Ă©vanouiront. Il est dur de bavarder constamment sur ce que vous allez faire si vous ĂȘtes au pied d'une splendide montagne qui existe depuis la nuit des temps. Branchez-vous Ă des plages de nature tout le long de votre semaine. Vous pouvez mĂȘme emporter votre journal intime et y consigner vos impressions. 8Ăteignez la musique. La musique peut Ă©videmment vous faciliter la tĂąche si vous Ă©tudiez, courez ou travaillez. NĂ©anmoins, la musique peut crĂ©er un supplĂ©ment de bruit qui peut vous donner envie de bavarder, de vous exciter et de vous rendre plus frĂ©nĂ©tique. La musique classique et le jazz peuvent convenir, mais de la musique bruyante avec des paroles entraĂźnantes va crĂ©er un bruit qui se rĂ©percutera dans votre tĂȘte et vous empĂȘchera de rester calme et en pleine possession de votre journĂ©e. 9Donnez-vous du temps. Si vous ĂȘtes naturellement bavard, vous ne deviendrez pas un modĂšle de silence du jour au lendemain. Mais si vous faites l'effort de parler un peu moins chaque jour, d'avoir un loisir et des activitĂ©s qui vous rendent plus silencieux et si vous vous concentrez Ă ĂȘtre Ă l'Ă©coute plutĂŽt que d'ĂȘtre un beau parleur, vous pourriez devenir plus silencieux bien plus rapidement que vous ne le croyez. Alors, dĂ©tendez-vous, ayez de la patience et apprĂ©ciez tous ces bruits discordants qui s'Ă©vacuent de votre esprit et aussi de vos cordes vocales. PublicitĂ© Ă propos de ce wikiHow RĂ©sumĂ© de l'articleXPour ĂȘtre plus calme dans les conversations, Ă©coutez activement votre interlocuteur et parlez peu. Quand vous parlez, posez-lui des questions pour quâil dĂ©veloppe ses idĂ©es au lieu de lâinterrompre ou de donner votre avis. Si vous avez des difficultĂ©s Ă y arriver, prĂȘtez attention Ă votre respiration pendant qu'il parle. Il peut ĂȘtre utile de compter jusqu'Ă 10 chaque fois que vous voulez dire quelque chose pour vous donner le temps de dĂ©terminer si ce que vous allez dire est vraiment important. Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 62 757 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?
Chansons fleuves Le FantĂŽme de Pierrot de Maxime Le Forestier auteur et Patrice Caratini compositeur EnregistrĂ©e en Juillet 1976. Paroles de Maxime Le Forestier, musique de Patrice Caratini. Au dĂ©but, la composition musicale ressemble Ă quelque chose d'Ornette Coleman. Ensuite, elle sonne comme elle pourrait ĂȘtre de Michel Legrand. Coup de chapeau Ă Le Forestier et Caratini pour cette piĂšce rare. Pour ma part cette remarquable chanson qui dure 11 minutes et 33 secondes m'a donnĂ© envie de rechercher les belles chansons de plus de 7 minutes qu'on pourrait appeler "Chansons fleuves" comme Dick Annegarn a nommĂ© une de ses chansons "Ă rallonge" on y trouve plusieurs chansons chantĂ©es par Bashung, FerrĂ©, Manset ...et bien d'autres. Posts les plus consultĂ©s de ce blog Le puzzle Perec Tu as tout Ă apprendre, tout ce qui ne s'apprendre pas la solitude, l'indiffĂ©rence, la patience, le silence.â â Georges Perec, Un homme qui dort Source Auteur prolifique et touche-Ă -tout, la virtuositĂ© de Georges Perec ne connaĂźt pas d'Ă©gal au vingtiĂšme siĂšcle, cela ne doit pas pour autant occulter les thĂ©matiques, souvent graves, qui traversent son Ćuvre, ni les ambitions de l'auteur, qui vont bien au-delĂ de simples jeux sur le langage. Tu as tout Ă apprendre, tout ce qui ne s'apprendre pas la solitude, l'indiffĂ©rence, la patience, le silence.â â Georges Perec, Un homme qui dort Source Tu as tout Ă apprendre, tout ce qui ne s'apprendre pas la solitude, l'indiffĂ©rence, la patience, le silence.â â Georges Ăa sort du cadre ! On imagine parfois que le sujet d'un tableau puisse en sortir tellement il parait rĂ©el ! Faute de savoir faire ou par preuve d'humour, quelques peintres ont contournĂ© cette difficultĂ© tout simplement en mettant rĂ©ellement un personnage hors du tableau. Cette pratique me rappelle cette sĂ©ance de "magie noire" Ă laquelle j'avais assistĂ© enfant et au cours de laquelle le magicien avait fait sortir rĂ©ellement une jeune femme dessinĂ©e sur un rouleau de papier qu'il avait dĂ©roulĂ© et appliquĂ© au mur !!! Un peintre espagnol a créé cette superbe peinture nommĂ©e "Escapando de la Critica" qui l'a rendu cĂ©lĂšbre en Espagne. Il s'agit du peintre PĂšre BorrĂ©e del Caso ayant vĂ©cu dans son pays de 1835 Ă 1910. D'autres moyens, plus radicaux il est vrai, arrive au mĂȘme rĂ©sultat "Les glaneuses" 1857 de J-François Millet en ont fait les frais de façon parodique ... Ce tableau anonyme a servi de pr Sculptures "fontaines" de Malgorzata Chodakowska L'artiste polonaise Malgorzata Chodakowska , crĂ©e ces belles fontaines en bronze, oĂč lâeau joue un rĂŽle essentiel dans lâensemble de la structure. Lâartiste met entre deux Ă six mois pour rĂ©aliser une sculpture, en fonction de la complexitĂ© de lâĆuvre. Elle commence par rĂ©aliser un modĂšle en argile, qui sert ensuite de moule Ă la rĂ©alisation finale. Malgorzata sculpte depuis plus de 30 ans. Mes fontaines rĂ©pandent la joie pure de la vie, en combinant lâĂ©lĂ©ment de lâeau avec la matiĂšre premiĂšre â le bronze », explique t-elle.
ï»żLÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceLÂŽindiffĂ©renceCÂŽest tout ce quÂŽil reste Ă prĂ©sentDe cet amour tendre et violentEn alternance LÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceLÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©rencePeu Ă peu nous a fait sombrerDans un monde froid et figĂ©Sans rĂ©sonanceQue reste-t-il de nos foliesOĂč le bonheur jouait sa vie?Et de nos rires insouciantsQui venaient au premier tourmentSĂ©cher les peinesQue lÂŽamour traĂźne?LÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceDe ce qui est, de ce qui futIl reste Ă nos amours perdusDans leur silenceLÂŽindiffĂ©renceCe qui devait ĂȘtre un chef-dÂŽoeuvreNotre amourJe ne sais par quel manoeuvreFut un fourNous offrons lÂŽimage dÂŽun coupleRĂ©signĂ©Nos sentiments flottent en eaux troubleAvortĂ©sLÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceLÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceQue reste-t-il de nos foliesOĂč le bonheur jouait sa vie?Et de nos rires insouciantsQui venaient au premier tourmentSĂ©cher les peinesQue lÂŽamour traĂźne?LÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©rence, lÂŽindiffĂ©renceDe ce qui est, de ce qui futIl reste Ă nos amours perdusDans leur silenceLÂŽindiffĂ©rence
Chut, chut⊠Les chairs tiĂšdes des femmes Ă©touffent les remous du monde. Chut⊠Tendez lâoreille⊠Entendez-vous ? Silence, il nây a que du silence. Cette rĂ©ponse est trop facile, vous ne cherchez pas. Silence, oui il y a du silence, mais avez-vous dĂ©jĂ tentĂ© de dĂ©composer le silence ? Prenez une aiguille et doucement, dĂ©licatement, soulevez les voiles, transpercez les ombres, crevez les mensonges et frappez les mĆurs jusquâĂ ce que la vĂ©ritĂ© vous poignarde, jusquâĂ ce que vous manquiez de vous Ă©vanouir sous les cris des mots. Horreur, horreur il y a, mais devant la laideur des plaies de la charogne, ne vous Ă©pouvantez pas, ou du moins, si cette scĂšne vous rĂ©pugne, ne vous contentez pas de dĂ©tourner le regard. mais enfin celle quâon a vue celle quâon a sentie les jambes en lâair la puanteur si forte celle qui a failli vous faire dĂ©faillir sur lâherbe vous crĂ»tes vous Ă©vanouir Silence, silence⊠Vous lâentendez Ă prĂ©sent. Vous lâentendez parce quâelle existe. Elle est lĂ . Vous lâavez vue, il est trop tard. Maintenant, vous devez aussi lâentendre. Je serais tentĂ©e, pour vous distraire un instant, de dĂ©poser Ă vos pieds un moineau qui sautille joyeusement dans lâherbe dĂ©saltĂ©rĂ©e par la rosĂ©e du printemps. Je serais tentĂ©e de vous proposer une illusion de chant allĂšgre de vie pour vous aider Ă faire face Ă cette vision de la souffrance en putrĂ©faction. Mais lâodeur est trop forte, mĂȘme lâimagination ne peut plus nous permettre dâinnocemment y Ă©chapper. Alors, poursuivons. Vous vous demandez peut-ĂȘtre ce quâil y a derriĂšre cette charogne, qui Ă©tait cet ĂȘtre qui a pu ainsi finir sa vie en souffrance, si visiblement Ă lâinsu de tous. Enfoncez un peu plus loin lâaiguille, percez le mystĂšre, les voiles qui cachent ce que vous ne savez pas. DerriĂšre la souffrance, il y a souvent de la colĂšre parce que la souffrance ne se justifie pas la petite soeur est en train de mourir ». VoilĂ , vous y ĂȘtes presque. Ne fermez pas les yeux, ne dĂ©tournez pas le regard ! Vous devez la voir, vous lui devez bien cela. Vous ne lui avez rien fait, câest exact, mais si vous ne faites rien, si vous lâoubliez, vous ĂȘtes comme les autres, vous ĂȘtes comme ceux qui lâont dĂ©truite, comme ceux qui lâont dĂ©composĂ©e. Si vous ne faites rien, vous vous intĂ©grez Ă lâindiffĂ©rence, or lâindiffĂ©rence est le poison qui lâa laissĂ©e lĂ il articule Je ne sais pas de qui vous mâentretenez. Il ose dire Ce prĂ©nom ne me rappelle rien. » De la colĂšre donc, je vois de la colĂšre. Tu la vois aussi ? Non, ne tâenfuis pas, sâil te plait ne tâenfuis pas. Laisse ton estomac se resserrer, tes mains trembler, tes larmes couler. Je tâen prie reste lĂ , pour elle, pour toi. Tous les autres sont partis. Le poids de leur silence pĂšse sur la colĂšre. Cette femme que tu vois lĂ nâa plus supportĂ© ce poids. Elle a couru pour rattraper les faiseurs dâanges, elle a frappĂ© pour venger lâindiffĂ©rence. Ă pourchasser lâombre elle sâest perdue dans le noir. elle dĂ©niche ceux dont on lui a dit il a frappĂ© il a abandonnĂ© il a tuĂ© une amie qui Ă©tait comme une sĆur. Elle les dĂ©niche pour quâils meurent avec lâobjet en eux. Elle apprend comment, de la griffe fine, offrir une mort brĂšve mais Ă©carlate. Ne la juge pas, pas tout de suite. Câest trop facile. Tu la jugerais pour pouvoir tâen dĂ©tacher, pour pouvoir regarder ailleurs. Apprends, apprends que des femmes souffrent et que câest rĂ©voltant⊠et puis rĂ©volte-toi. Si tu ne te rĂ©voltes pas, elle nâest pas lĂ . DĂ©composĂ©e est le premier roman Ă destination des adultes de ClĂ©mentine Beauvais, mais elle est dĂ©jĂ connue de la scĂšne littĂ©raire pour sa littĂ©rature jeunesse. Ce roman en vers libres concis et engagĂ© est publiĂ© aux Ă©ditions LâIconoclaste, dans la collection LâIconopop. NâhĂ©sitez pas Ă vous le procurer !
Le Monde Afrique L'ancien prĂ©sident de l'Afrique du Sud, Nelson Mandela, est mort jeudi Ă l'Ăąge de 95 ans. Tout au long de sa vie, la parole fut la plus grande arme du hĂ©ros de la lutte anti-apartheid. L'ancien prĂ©sident de l'Afrique du Sud, Nelson Mandela, est mort jeudi 5 dĂ©cembre Ă l'Ăąge de 95 ans. Depuis 1999, le hĂ©ros de la lutte contre l'apartheid s'Ă©tait retirĂ© de la vie publique, ne faisant que de rares apparitions. En 2003 pourtant, il Ă©tait sorti de son silence pour commenter l'action de George W. Bush, un prĂ©sident qui ne sait pas rĂ©flĂ©chir », et condamner le lancement de l'attaque en Irak. Car tout au long de sa vie, la parole fut la plus grande arme de Nelson Mandela. 20 avril 1964, procĂšs de Rivonia Un idĂ©al pour lequel je suis prĂȘt Ă mourir » Depuis prĂšs de deux ans, Nelson Mandela est en prison, condamnĂ© pour avoir incitĂ© des gens Ă se mettre en grĂšve pour protester contre les politiques de sĂ©grĂ©gation raciale. Mais le 20 avril 1964, Nelson Mandela rĂ©pond cette fois de chefs d'accusation plus graves sabotage, haute trahison et complot. Aux cĂŽtĂ©s de 19 dirigeants de l'ANC, le leader du parti politique est le premier Ă prendre la parole dans le tribunal de Pretoria. Dans un discours de prĂšs de 30 minutes, il raconte Ă l'assemblĂ©e la genĂšse et les motivations de son engagement politique, esquissant les prĂ©mices de la future Nation arc-en-ciel ». La souffrance des Africains, ce n'est pas seulement qu'ils sont pauvres et que les blancs sont riches, mais bien que les lois qui sont faites par les Blancs tendent Ă perpĂ©tuer cette situation. ... Par dessus tout, nous voulons des droits politiques Ă©gaux, car en leur absence notre handicap sera permanent. Je sais que cela paraĂźt rĂ©volutionnaire aux Blancs de ce pays, car la majoritĂ© des Ă©lecteurs seront des Africains. Ce qui fait que les hommes blancs craignent la dĂ©mocratie. Mais cette peur ne doit pas se placer au travers de la voie de la seule solution qui garantira l'harmonie raciale et la libertĂ© pour tous. Ce n'est pas vrai que le droit de vote pour tous se traduira par une domination raciale. Le clivage politique fondĂ© sur la couleur de la peau est totalement artificiel et quand il disparaĂźtra, dans un mĂȘme mouvement la domination d'un groupe de couleur sur un autre sera Ă©liminĂ©e. Au cours de ma vie, je me suis consacrĂ© Ă cette lutte des peuples africains. J'ai combattu contre la domination blanche et j'ai combattu contre la domination noire. J'ai chĂ©ri l'idĂ©al d'une sociĂ©tĂ© libre et dĂ©mocratique dans laquelle tout le monde vivrait ensemble en harmonie et avec des chances Ă©gales. C'est un idĂ©al pour lequel j'espĂšre vivre et que j'espĂšre accomplir. Mais si nĂ©cessaire, c'est un idĂ©al pour lequel je suis prĂȘt Ă mourir. » A l'issue de ce procĂšs, Nelson Mandela est condamnĂ© Ă la prison Ă vie. Il restera vingt-sept ans derriĂšre les barreaux, sous le matricule de prisonnier 46 664. 13 fĂ©vrier 1990, la libĂ©ration L'apartheid n'a pas d'avenir » La foule attend, impatiente, les premiers mots du plus vieux prisonnier politique du monde, qui a quittĂ© deux jours plus tĂŽt la prison Victor Verster de Paarl. Depuis le balcon de l'hĂŽtel de ville du Cap, Nelson Mandela rompt un silence de vingt-sept annĂ©es. Dans une adresse formulĂ©e Ă la premiĂšre personne, il remercie tour Ă tour toutes les composantes de la sociĂ©tĂ© sud-africaine, celles-lĂ mĂȘme qu'il lui faudra rĂ©ussir Ă rĂ©unifier pour obtenir la paix du pays, encore rĂ©gi par les lois de l'apartheid. Je suis ici devant vous non pas comme un prophĂšte mais comme votre humble serviteur. C'est grĂące Ă vos sacrifices inlassables et hĂ©roĂŻques que je suis ici aujourd'hui. Je mets donc les derniĂšres annĂ©es de ma vie entre vos mains. ... Aujourd'hui, la majoritĂ© des Sud-Africains, noirs comme blancs, reconnaissent que l'apartheid n'a aucun avenir. Ce systĂšme doit ĂȘtre aboli d'un commun accord afin de reconstruire la paix et la sĂ©curitĂ©. ... La situation qui nous avait poussĂ©e Ă prendre les armes existe toujours aujourd'hui. Nous n'avons pas d'autre choix que de continuer. Notre lutte a atteint un moment dĂ©cisif. Nous appelons notre peuple Ă saisir cette opportunitĂ©, afin que nous puissions accĂ©der rapidement Ă la dĂ©mocratie. Nous avons attendu trop longtemps notre libertĂ©. Nous ne pouvons plus attendre davantage. C'est le moment d'intensifier notre combat sur tous les fronts. RelĂącher nos efforts Ă prĂ©sent serait une erreur que les gĂ©nĂ©rations qui nous suivront ne nous pardonneraient pas. La vision de la libertĂ©, qui point Ă l'horizon, devrait tous nous encourager Ă redoubler nos efforts. Notre marche vers la libertĂ© est irrĂ©versible. Nous ne pouvons pas laisser la peur l'emporter. Le suffrage universel dans une Afrique du Sud dĂ©mocratique, unie et non raciale est notre seule voie vers la paix et l'harmonie entre les peuples. » Sous les applaudissements de la foule, Nelson Mandela conclura son discours en citant les derniers mots de sa plaidoirie de 1964. Ils sont toujours aussi vrais aujourd'hui qu'ils l'Ă©taient Ă l'Ă©poque », martĂšle l'homme, se disant de nouveau prĂȘt Ă mourir pour cet idĂ©al ». 10 octobre 1993, le prix Nobel Le comitĂ© suĂ©dois dĂ©cerne en 1993 le prix Nobel de la Paix Ă Nelson Mandela et au prĂ©sident sud-africain Frederik de Klerk pour l'abolition de l'apartheid, en juillet 1991. A l'hĂŽtel de ville d'Oslo, Nelson Mandela choisit notamment de rendre hommage Ă la mĂ©moire de Martin Luther King. Nous sommes ici aujourd'hui pour reprĂ©senter les millions de personnes qui ont osĂ© se soulever contre un systĂšme social dont l'essence profonde Ă©tait la guerre, la violence, le racisme, l'oppression, la rĂ©pression, et l'appauvrissement de tout un peuple. ... Ces innombrables humains, Ă la fois Ă l'intĂ©rieur et en dehors de l'Afrique du Sud, ont eu la noblesse d'esprit de s'opposer Ă la tyrannie et Ă l'injustice, sans chercher leur gain personne. Ils ont compris qu'une blessure faite Ă une personne est une blessure faite Ă l'humanitĂ©, et ont agi ensemble pour dĂ©fendre la justice et le sens commun de la dĂ©cence humaine. Notre rĂ©compense ne se mesurera que par la paix joyeuse qui triomphera un jour, car l'humanitĂ© qui unit les blancs et les noirs en une seule et mĂȘme race nous permettra de vivre un jour tels des enfants du paradis. Ainsi vivrons-nous, car nous aurons créé une sociĂ©tĂ© qui reconnaĂźt que tous les hommes naissent Ă©gaux, et que tous ont le droit Ă la vie, Ă la libertĂ©, Ă la prospĂ©ritĂ©, aux droits humains et Ă une bonne gouvernance. Une telle sociĂ©tĂ© n'autorisera plus jamais que certains soient faits prisonniers Ă cause de leurs idĂ©es. ... Qu'il ne soit jamais dit par les gĂ©nĂ©rations futures que l'indiffĂ©rence, le cynisme et l'Ă©goĂŻsme nous ont empĂȘchĂ©s d'ĂȘtre Ă la hauteur des idĂ©aux humanistes. Que chacune de nos aspirations prouve que Martin Luther King avait raison, quand il disait que l'humanitĂ© ne peut plus ĂȘtre tragiquement liĂ©e Ă la nuit sans Ă©toiles, du racisme et de la guerre. Que les efforts de tous prouvent qu'il n'Ă©tait pas un simple rĂȘveur quand il parlait de la beautĂ© de la vĂ©ritable fraternitĂ© et de la paix, plus prĂ©cieuse que les diamants en argent ou en or. » 10 mai 1994, l'investiture Une nation arc-en-ciel en paix avec elle-mĂȘme et avec le monde » Le 27 avril 1994, Nelson Mandela est Ă©lu Ă la tĂȘte de l'Afrique du Sud, avec 62,2 % des voix. Nelson Mandela prĂȘte serment, devenant le premier prĂ©sident noir de l'Afrique du Sud, aprĂšs quatre longues et difficiles annĂ©es de nĂ©gociations avec la minoritĂ© blanche. De l'expĂ©rience d'un dĂ©sastre humain inouĂŻ qui a durĂ© beaucoup trop longtemps, doit naĂźtre une sociĂ©tĂ© dont toute l'humanitĂ© sera fiĂšre. Nous, le peuple d'Afrique du Sud, nous sentons profondĂ©ment satisfaits que l'humanitĂ© nous ait repris en son sein, et que le privilĂšge rare d'ĂȘtre l'hĂŽte des nations du monde sur notre propre terre nous ait Ă©tĂ© accordĂ©, Ă nous qui Ă©tions hors la loi il n'y a pas si longtemps. Le temps est venu de panser nos blessures. Le moment est venu de rĂ©duire les abĂźmes qui nous sĂ©parent. Le temps de la construction approche. Nous avons enfin accompli notre Ă©mancipation politique. Nous nous engageons Ă libĂ©rer tout notre peuple de l'Ă©tat permanent d'esclavage Ă la pauvretĂ©, Ă la privation, Ă la souffrance, Ă la discrimination liĂ©e au sexe ou Ă toute autre discrimination. Nous avons rĂ©ussi Ă franchir le dernier pas vers la libertĂ© dans des conditions de paix relative. Nous nous engageons Ă construire une paix durable, juste et totale. Nous avons triomphĂ© dans notre effort pour insuffler l'espoir dans le cĆur de millions de nos concitoyens. Nous prenons l'engagement de bĂątir une sociĂ©tĂ© dans laquelle tous les Sud-Africains, blancs ou noirs, pourront marcher la tĂȘte haute sans aucune crainte au fond de leur cĆur, assurĂ©s de leur droit inaliĂ©nable Ă la dignitĂ© humaine â une nation arc-en-ciel en paix avec elle-mĂȘme et avec le monde. Le soleil ne se couchera jamais sur une rĂ©ussite humaine si glorieuse. » En mai 1999, Mandela se retire au terme d'un seul mandat. TĂ©lĂ©charger L'Africain capital », hommage du Monde » Ă Nelson Mandela une application pour iPad Ă dĂ©couvrir sur l'App Store, dans la collection Le Monde MĂ©moire ». Le Monde Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă la fois Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce quâune autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă lire ici ? Ce message sâaffichera sur lâautre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il dâautres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant dâappareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est lâautre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
chanson l indifférence c est ce silence